De nombreux enfants souffrent du manque d’investissements, de la mauvaise gestion des services techniques municipaux, des choix politiques de fermer certaines écoles ou de choisir un bailleur privé pour l’école Mabuse.
Dans le cas particulier de l’école Mabuse, depuis son inauguration en septembre 2017 le groupe scolaire Jean Mabuse, connait des infiltrations d’eau récurrentes, Nous en avions déjà alerté la mairie depuis novembre 2017 au sujet de nappes d’eaux qui s’accumulaient sur le toit de l’école.
Depuis septembre 2017, le plafond de la cantine s’est effondré à 3 reprises, la dernière ayant eu lieu en septembre 2020.
A ce jour les réparations n’ont toujours pas eu lieu et les recherches effectuées ne semblent pas avoir été concluantes et réclame une action en justice contre le bailleur, ce qui ne serait jamais arrivé avec un bâtiment public municipal.
Mais le tableau n’est pas plus reluisant par ailleurs :
La plupart des abords sont extrêmement dangereux, sans véritable protection des enfants contre les dangers de la circulation automobile. Même sur des voies très roulantes comme la Route de Mons, la rue du Pont de Pierre. A croire qu’on attend l’accident pour agir.
L’exemple du Pont-Allant est édifiant. Nous proposions lors de notre campagne, après discussions avec les parents d’élèves, d’utiliser le parking de la salle de sport Mozin et de créer un accès spécifique pour l’école primaire. C’est une mesure de bon sens, qui est maintenant reprise dans l’urgence du fait de la crise sanitaire, sans préparation préalable, obligeant parents et enfants à traverser les pelouses boueuses.